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Il y a (Gaëtan Roussel - Vanessa Paradis) vs. Van Gogh (champ de blé aux corbeaux )

Bienvenu dans ce nouveau numéro de lyrics of the day.

Titre:

Il y a

Auteur:

Gaëtan Roussel

Interprète:

Vanessa Paradis

Vidéo:

Synopsis:

Composé par le leader du groupe Louise Attaque, il est écrit pour Vanessa Paradis et sorti en 2009. Ce titre a été repris par le Duo Frero Delavega et a inspiré beaucoup de YOUTUBERS à en faire une reprise, ce qui je pense est symptomatique d’une chanson qui a beaucoup touché les francophones.

Johny Depp qui était marié à l’époque avec Vanessa Paradis, en réalise le clip incluant ses enfants et les amis de la famille dans leur propriété du Sud de la France.

Pourquoi ai-je choisi cette chanson ?

Van gogh

Quand je ferme les yeux et que je joue ces quelques notes, j’ai l’impression d’être en face d’une peinture impressionniste un peu comme Van Gogh pouvait les peindre.

Il y en a une (que voici) qui s’affiche devant mes yeux et qui bouge sous le souffle du vent avec les oiseaux qui volent vers l’horizon.

Champ de blé

Cette peinture est appelée champs de blé aux corbeaux qui est un titre finalement très descriptif mais une œuvre d’art très impressionniste il me semble.

Il fait bon pouvoir fermer les yeux et se retrouver comme par enchantement au milieu d’un champ de blé par le biais de cette musique et de mon imagination stimulée par cette peinture.

Se recentrer

Il fait bon se retrouver, se recentrer, se ressourcer loin du centre-ville, loin de l’activité, loin du stress et des tracas quotidiens… juste l’espace d’un instant pour se récupérer, pour remettre les choses à plat et voir, à nouveau, les lignes qui se tracent devant nous et remettent en lumière les chemins à emprunter.

Il m’arrive souvent de perdre le nord mais, avec l’expérience, j’ai appris que quand cela se produit, plus grand-chose ne tourne rond. Je me suis donc dit : ‘il vaut mieux tout laisser en plan' (dans la mesure du possible) et tenter de retrouver sa boussole.

En générale, les symptômes apparaissent de cette façon : fatigue, énervement, estomac noué, gorge serrée et ce cerveau qui veut tout contrôler pour essayer de résoudre chaque problème en réfléchissant à chaque ramification. Il faut bien le dire, cela ne fait qu’empirer les choses.

‘Parfois, on regarde les choses telles quelles sont en se demandant pourquoi’

‘Parfois, on les regarde telles qu’elles pourraient être en se disant pourquoi pas’

Ces deux phrases si bien écrites sont le reflet d’un sentiment que l’on a tous ressenti (le verre à moitié plein…à moitié vide) : être capable d’être positif ou au contraire être négatif dans une situation donnée. Mais pour savoir de quelle tournure nous sommes, ne faut-il pas d’abord être objectif.

Rester dans des situations de stress, de mécontentement, de fatigue morale de façon prolongée ne peut guère nous aider dans cette quête car cela, tôt ou tard, altère notre jugement. Bien souvent, nous prenons des décisions alors que nous sommes loin d’avoir trouvé cette objectivité, quelle peut dès lors être la valeur de celles-ci ?

Il me parait certain que chacun doit trouver la façon de se remettre d’aplomb, de retrouver l’objectivité… Moi c’est avec mes chansons, mon imagination.

Bon vent,

F

Sources

https://fr.wikipedia.org/wiki/Il_y_a_(chanson)

Musixmatch

Vidéo youtube

Photo

Paroles

Il y a là la peinture, des oiseaux, l'envergure, qui luttent contre le vent. Il y a là les bordures, les distances, ton allure, quand tu marches juste devant. Il y a là les fissures, fermées les serrures, comme envolés les cerfs-volants. Il y a là la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement. Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi. Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas. Il y a là là là, si l'on prenait le temps, si l'on prenait le temps. Il y a là la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement. Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi. Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas. Il y a là les mystères, le silence, ou la mer qui luttent contre le temps. Il y a là les bordures, les distances, ton allure, quand tu marches juste devant. Il y a là les murmures, un soupir, l'aventure, comme envolés les cerfs-volants. Il y a là la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement. Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi. Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas. Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi. Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas.

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